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La Revue canadienne d'évaluation de programme (RCÉP) est une revue à libre accès de la SCÉ qui est est publiée trois fois l'an. Elle vise à promouvoir la théorie et la pratique de l'évaluation de programmes au Canada. Elle contient :

  • des articles de 7 000 mots maximum (incluant les références) sur la théorie et la pratique de l'évaluation, y compris les approches méthodologiques innovantes, les travaux de recherche empirique, les normes de pratique et les stratégies visant la mise en œuvre, la diffusion et l'utilisation des évaluations. 
  • des notes sur la recherche et la pratique de 3 000 mots maximum qui présentent des exemples de pratiques évaluatives ou de recherche innovantes.
  • des comptes-rendus de livres de 1 000 mots maximum qui fournissent une analyse critique des livres d'intérêt pour le domaine de l'évaluation.
  • la section « Nos racines et nos liens ». Cette section inclut les articles, les enregistrements audio ou vidéo, les représentations visuelles qui honorent notre lignée, développent notre parenté et soutiennent nos héritages intergénérationnels de sagesse et de pratiques autochtones en évaluation. (Plus d'informations sur cette section ci-dessous.)  

Si vous avez des questions sur la RCÉP, sur la CJPE, n'hésitez pas à  nous envoyer un courriel. 

Articles : Les manuscrits de 7 000 mots maximum portant sur la théorie et la pratique de l'évaluation, y compris les approches méthodologiques innovantes, les normes de pratique et les stratégies visant la mise en œuvre, la diffusion et l'utilisation des évaluations peuvent être déposés. Nous nous intéressons particulièrement aux articles qui présentent des travaux de recherche empirique sur l'évaluation.

Les manuscrits soumis seront évalués par les pairs par un processus à double aveugle en fonction des critères suivants :

  • La pertinence compte tenu du contexte canadien et international - les articles doivent intéresser les universitaires, praticien·nes ou étudiant·es du domaine de l'évaluation de programmes.
  • La clarté et la concision de l'article.
  • L'originalité du sujet abordé, de la méthodologie ou de la pratique présentés dans l'article.
  • Veuillez noter que la Revue ne publie PAS de rapports d'évaluation ou de résumés d'évaluations.
  • La Revue publie des articles en français et en anglais. Les directives précises quant à la présentation des articles sont présentées à la section suivante.

Notes sur la recherche et la pratique : Les notes sur la recherche et la pratique portent sur une question d'importance liée à la pratique de l'évaluation et comportent sa description et son analyse de manière concise et structurée. Le manuscrit devrait faire suite à un examen systématique de l'une des nombreuses dimensions de la pratique de l'auteur dans le but de partager les leçons apprises avec d'autres praticien·nes et chercheurs·euses.

Ces soumissions ne devraient pas dépasser les 3 000 mots incluant les références. Les dimensions de la pratique qui pourraient faire l'objet d'une note sur la recherche et la pratique peuvent inclure: la gestion d'une fonction d'évaluation, la planification d'une évaluation, la conception des méthodes d'évaluation et de la collecte de données, l'intégration des parties prenantes à l'évaluation, l'utilisation de méthodes innovantes, la gestion des projets d'évaluation, la communication des résultats d'évaluation, l'utilisation de l'évaluation, et l'enseignement de l'évaluation.

Les notes sur la recherche et la pratique devraient suivre la structure suivante :

  • Introduction ou présentation du contexte afin d'orienter le·la lecteur·trice
  • Brève description des dimensions de la pratique sur lesquelles porte la note, accompagnée des références pertinentes
  • Aperçu des méthodes d'examen ou d'analyse systématique utilisées pour déterminer ce qui a été appris concernant la dimension d'intérêt
  • Description et analyse des apprentissages en portant une attention particulière aux facteurs ayant contribué au succès (ou à l'échec)
  • Conclusions et conséquences sur la pratique, la théorie et la recherche en évaluation, au Canada ou ailleurs

Les manuscrits feront l'objet d'une évaluation par les pairs à double aveugle, qui portera sur les critères suivants :

  • Pertinence à la pratique de l'évaluation
  • Crédibilité des analyses produites
  • Validité des conclusions et des conséquences présentées
  • Originalité
  • Clarté et concision
  • Intérêt des lecteurs et lectrices

Comptes-rendus de livres : Des comptes-rendus de publications récentes dans le domaine de l'évaluation de programmes au Canada sont publiés dans la majorité des numéros de la RCEP. La rédactrice associée de cette rubrique fait appel aux auteurs des comptes-rendus directement. Les manuscrits ne devraient pas dépasser les 1 000 mots et doivent brièvement présenter l'ouvrage recensé et offrir une critique originale du livre.

L'objectif de la section « Nos racines et nos liens » est d'honorer notre lignée, de développer notre parenté et de soutenir nos héritages intergénérationnels de sagesse et de pratiques autochtones en évaluation. Cette section conservera et protégera de manière sacrée les connaissances traditionnelles, respectera et affirmera la souveraineté, fournira un espace pour les voix autochtones et célébrera les innovations en matière d'évaluation autochtone.

La vision de cette section est de :

  • Créer et maintenir un espace accueillant et sécuritaire pour que toutes les contributions dirigées par des contributeurs·trices autochtones soient prises en compte, discutées, examinées et publiées afin de soutenir la décolonisation de l'évaluation décolonisée (p. 353, Bowman, Dodge Francis et Tyndall, 2015).
  • Créer un lieu où les contributeurs·trices autochtones peuvent proposer une offre diversifiée de travaux d'évaluation qui ne se limitent pas à des soumissions textuelles.
  • Utiliser un modèle transversal pour le processus éditorial fondé sur un processus d'évaluation par les pairs autochtone, ayant pour objectif de favoriser la diffusion de travaux d'évaluation tout en soutenant la curiosité, le développement holistique, l'apprentissage engagé et le soutien de la parenté.
  • L'inclusion de relations intergénérationnelles (des jeunes aux aînés) afin que les origines et les objectifs de la section demeurent enracinés dans les connaissances et la langue traditionnelles, les protocoles et les pratiques culturelles, de nation à nation (Bowman, 2019) et l'inclusion de la souveraineté des tribus/premières nations et de l'éthique autochtone en tant que voie durable et régénératrice pour la diffusion des savoirs autochtones.

La section et les contributions qui s'y trouveront seront co-créées à travers la lentille culturelle des quatre directions de la roue de la médecine (Bowman, 2018) :  

  • La Porte de l'Est : Tisser des liens solides. Nous arrivons reposé·es et prêt·es et à travailler, selon des méthodes qui reflètent les modes de connaissance traditionnels, culturels et spirituels, dans le cadre d'un processus où nous écoutons respectueusement et cherchons d'abord à comprendre, puis décidons ensemble des meilleures voies à suivre.
  • La Porte du Sud : Être bien disposé·e. Il s'agit de l'éveil, de l'enracinement et du centrage des connaissances et des pratiques autochtones et communautaires pré-contact et post-contact qui sont restauratrices, régénératrices, basées sur la force, qui protègent la vie privée et respectent la souveraineté des nations autochtones en ce qui concerne les données, la culture, l'intellect, l'humain et le non-humain.
  • La Porte de l'Ouest : Faire du bon travail. Cela permet de soutenir le développement de stratégies, d'études, de politiques, de processus et de produits culturellement spécifiques, sensibles et régénérateurs, qui s'alignent sur le besoin d'approches autochtones saines, réciproques, respectueuses et pertinentes en matière d'évaluation.
  • La Porte du Nord : Être sur une bonne route. En utilisant la sagesse de nos ancêtres et de nos aîné·es, nous nous appuierons sur les connaissances traditionnelles pour célébrer et partager ce qui fonctionne, et pour accepter et apprendre des défis. Nous soutiendrons la marche sur des voies sacrées pour une évaluation autochtone innovante et durable qui inspirera les sept prochaines générations.

Parmi les sujets ou contenus possibles abordés dans les soumissions, citons : les récits d'origine, les connaissances traditionnelles, l'histoire orale, les théories, les cadres conceptuels et l'éthique autochtones, le travail de nation à nation, les traités, les accords oraux, les approches novatrices en matière d'évaluation autochtone, les méthodes traditionnelles de création de sens, la durabilité, la gestion de l'environnement, la distinction entre ce qu'est la "sagesse" (nos aînés) et la simple production de connaissances supplémentaires (méthodes occidentales).

Rédactrice en chef : Jill Chouinard, professeure, École d'administration publique, Université de Victoria

Coordonnatrice éditoriale : Paisley Worthington, étudiante en doctorat, Université de Queens

Rédactrice associée - articles en anglais : Leslie Fierro, Université McGill, École Max Bell de politiques publiques

Rédactrice associée - notes sur la pratique (anglais) : Jane Whynot, partenaire chez Goss Gilroy Inc. (GGI)

Rédactrice associée - articles et notes sur la pratique (français) : Naïma Bentayeb, École nationale d’administration publique (ENAP) et l'École de travail social de l'Université McGill

Rédacteur associé - Nos racines et nos liens : Larry Bremner, MA, ÉQ, président, Proactive Information Services Inc.

Rédactrice associée - Nos racines et nos liens : Nicole Bowman / Waapalaneexkweew (Lunaape/Mohican), Université de WI-Madison et Bowman Performance Consulting

Rédactrice associée - compte-rendus de livres : Tiffany Tovey, Département de méthodologie de la recherche en éducation, Bureau des services d'évaluation et de recherche, Université de Caroline du Nord à Greensboro

Jeremy Acree, Université de Caroline du Nord à Greensboro

Courtney Amo, Atlantic Canada Opportunity Agency 

Tim Aubry, Université d'Ottawa

Isabelle Bourgeois, Université d'Ottawa

Ayesha Boyce, Université d'Arizona State

Nancy Carter, scientifique chargé de l'évaluation

Brad Cousins, Université d'Ottawa

Gédéon Dosson Djissa, Instituts de recherche en santé du Canada

Sarah Earl, YMCA du Grand Toronto

Steve Jacob, Université Laval

Marlène Laeubli, LAUCO Evaluation & Training

Chris Lovato, Université de Colombie-Britannique

James McDavid, Université de Victoria

Michael Obrecht, consultant

Burt Perrin, consultant

Cheryl Poth, Université d’Alberta

Lynda Rey, École nationale d'administration publique

Lucie Richard, Université de Montréal

Valéry Ridde, Université de Montréal

Ray Rist, Banque mondiale

Michelle Searle, Université de Queens

Mark Seasons, Université de Waterloo

Robert Schwartz, Université de Toronto

Daniela Schröter, Université de Western Michigan

Sandra Sellick, Université de Royal Roads

Sanjeev Sridharan, Fondation Melinda et Bill Gates